• DRAGON BALL OC CHAPITRE IV

    PRESENT : L’HISTOIRE DES YASAIS : L’ORIGINE DES SAIYAJINS !

    Les doigts de Végéta bougèrent spasmodiquement. Dans un dernier sursaut, il essaya d’allonger son bras, mais il retomba au sol.

    - Oob, ordonna Gokû. Va prévenir Gohan, Krilin et les autres de ne pas s’approcher de cet endroit.

    - Mais…

    - Fais ce que je te dis !

    Le ton était tranchant. Oob eut un instant d’hésitation avant de décoller.

    - Qui êtes-vous ? demanda Gokû.

    L’étrange personnage aux cheveux d’or et aux yeux bleus sourit.

    - Veux-tu que nous te racontions notre histoire ? demanda Jelano. Ainsi tu comprendras mieux nos buts et ce que tu dois faire pour nous.

    Une goutte de sueur passa sur le visage de Gokû :

    - Dis toujours.

    - Et bien voilà : il y a bien longtemps, mon peuple, les Yasais, découvrit le secret de l’immortalité. L’augmentation exponentielle de la population finit par poser problème. Etant immortels, nous ne pouvions partager toutes les ressources de notre planète si nous continuions à engendrer. Une campagne de stérilisation fut acceptée et notre civilisation put alors connaître son apogée. Sous le règne de l’empereur Furuito, les Yasais vivaient dans la paix et la prospérité. De plus, la puissance physique de notre peuple nous permettait de faire face aux agressions extérieures. Evidemment, les Yasais auraient pu profiter de leur supériorité physique pour asservir d’autres planètes et ainsi continuer à procréer mais ils préféraient vivre dans la non-agressivité. Je n’étais pas comme eux. A part moi, Apple et trois autres, tous vivaient dans une paix infâme qui les entravait dans une léthargie communicative. Moi, Jelano, j’avais décidé de prendre le pouvoir et d’entraîner les Yasais vers une ère de conquête. Mais à cinq, nous ne pouvions pas faire grand chose contre Furuito et je doutais que d’autres nous suivent dans cette périlleuse entreprise. C’est pourquoi, dans le plus grand secret, je m’attelai à un grand projet : je parvins à créer après quelques années de travail, des cuves de clonage. Apple, Cerise, Rindaman, Figu et moi avons donné un peu de notre sang pour créer une armée de clones capable de mettre un terme au règne de Furuito. Mais les clones ont dégénéré. Les cinq cent êtres engendrés par les cuves se révélèrent totalement décadents et incontrôlables, bien incapables de mettre à bas l’armée de Furuito. Ces Yasais dégénérés furent les premiers Saiyajins.

    Gokû ressentit un choc. Ainsi, il était le descendant de ses deux êtres qui lui faisaient face. Mais quel âge pouvaient-ils avoir ? Aucun signe de vieillesse ne transparaissait sur leurs traits.

    - Ainsi, continua Jelano. Devant notre évident échec, Rindaman préféra nous dénoncer et nous fûmes arrêtés. Je fus banni, moi, mes collègues ainsi que mes clones et nous quittâmes la planète dans un immense vaisseau. Les Yasais étaient bons, trop bons et hypocrites également. Ils avaient préféré nous épargner plutôt que d’avoir du sang sur les mains. J’étais dégoûté ! Je n’avais rien à voir avec cette race, si puissante physiquement et pourtant si faible d’esprit. Nous parcourûmes longtemps l’univers et nous finîmes par trouver une planète inhabitée, où nous pûmes apporter des modifications utiles à notre vaisseau afin qu’il se déplace plus vite. Les Saiyajins s’agitaient de plus en plus dans leur cage. Furuito, en nous envoyant avec eux, avait sans doute espéré que nos créations finiraient par échapper à notre contrôle et nous tueraient en démolissant le vaisseau. J’eus un temps l’idée de supprimer mes créatures mais je me demandais si je n’allais pas finir par réussir à les éduquer. La nourriture commençait à manquer et les clones en souffraient. Nous quittâmes la planète. Il fallait que nous trouvions une autre terre, habitée cette fois, où les Saiyajins pourraient enfin se battre et évoluer. Nous découvrîmes notre bonheur sur la planète Plant, avec une évolution scientifique élevée, mais au niveau physique très bas. Ces idiots avaient préféré développer leur technologie plutôt que leurs muscles. Un détail qui leur coûta cher.

    - Salaud, lança Gokû. Les êtres vivants ne sont donc qu’un terrain d’expériences pour toi !

    - Les habitants de Plant, continua Jelano sans tenir compte de la coupure, les Tsufurs, ne survécurent pas à l’assaut saiyajin. Même leur technologie ne suffit pas à enrayer l’invasion. De plus nous découvrîmes qu’à la pleine lune, nos clones étaient capables de se transformer en de monstrueux gorilles ce qui leur conférait beaucoup plus de force. Les Saiyajins proliférèrent et utilisant la science tsufur envahirent de nouvelles planètes et les vendirent au plus offrant contre de nouvelles technologies. Néanmoins, les Saiyajins commençaient également à s’empâter, se contentant de leur force actuelle. Il fallait donc quelqu’un de puissant pour leur redonner une rage accrue, quelqu’un qui leur donnerait la volonté de se dépasser. Un temps, nous pensâmes remplir cette tâche nous-mêmes mais nous découvrîmes quelque chose de terrible qui nous fit changer d’avis…

    - La ferme, coupa Gokû. Je ne veux pas en entendre plus ! Quittez cette planète et ne revenez plus jamais !

    - Nous n’allons pas partir au moment où notre rêve est sur le point de se réaliser Kakarotto.

    Gokû se raidit.

    - Nous avons besoin de tes cellules, dit Apple, pour créer une nouvelle armée de clones. Tu es allé bien au-delà de ce que nous espérions. Tu as atteint le stade ultime du Saiyajin. Grâce à toi, le peuple Yasai sera anéanti.

    - Je n’ai pas l’intention de me mettre à votre service.

    - Tu t’y mettras, dit Jelano. Que tu le veuilles ou non. Apple !

    Ce dernier se mit en position de combat, prêt à en découdre. Gokû, toujours en Super Saiyajin 3, concentra toutes ses forces. Il fonça sur l’ennemi. Apple para ses premiers coups de poings et de pieds, puis lui écrasa le plat de sa main sur son nez. Gokû saigna mais ne fit pas attention à la douleur. Il réunit ses mains :

    - Kaaa…, commença-t-il,… mééé…

    Mais Apple était déjà dans les airs. Gokû envoya son Kaméhaméha sur lui mais l’autre le bloqua d’une main. Apple tendit sa main et un vent violent envoya Gokû se fracasser contre une montagne.

    - As-tu compris maintenant ? cria Jelano. Nous n’en avons pas après toi. Nous voulons juste un peu de ton sang.

    Gokû se releva, portant la main à son bras blessé.

    Jelano pressa un bouton sur sa ceinture. Gokû sentit une douleur sourde lui vriller les entrailles. Il vit son avant bras gauche se couvrir de grosses veines pulsant sous sa chair. Tout à coup, celle-ci se fissura et laissa apparaître un minuscule amas de métal, une sorte de puce électronique qui rejoignit directement la main de Jelano.

    - Avec ça, dit-il. Nous avons toutes les informations nécessaires pour créer notre armée.

    Jelano se mit à rire, un rire de démon qui emplit toute la vallée.

    - Apple, ordonna-t-il tout à coup. Débarrasse-toi de lui.

    Apple allait s’exécuter quand il vit que Gokû, s’élevant dans le ciel, faisait diminuer son aura. Très vite, il passa de l’état de Super Saiyajin 3 à celui d’un simple guerrier aux cheveux noir de jais. Apple fonça sur le guerrier, mais ce dernier mit ses mains en éventail sur ses yeux :

    - Taiyoken !! cria-t-il.

    Une lumière éblouissante aveugla Apple et Jélano. Gokû mit deux doigts sur son front et disparut pour se retrouver juste sur Végéta qu’il saisit d’une main puis toujours les deux doigts collés au front, il disparut complètement.

    - Où est-il passé ? ragea Apple, retrouvant une vision à peu près correcte.

    - Laisse tomber, dit Jelano. De toute façon, nous avons la matière suffisante pour nous venger enfin de Furuito

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  • Commentaires

    1
    sayanfemal
    Samedi 29 Octobre 2011 à 14:20

    MAIS C EST NUL

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